La compensation carbone par les entreprises est devenue une pratique courante
Article lu 17823 fois, depuis sa publication le 20/02/2020 à 14:32:07 (longueur : 6351 caractères)
On sait que les forêts font partie des puits à carbone, bien que la plus grande quantité de gaz à effet de serre, les GES que notre planète peut absorber, notamment le CO2, le sont par l'immensité des océans.
Cependant, la quantité à absorber est devenue telle, du fait notamment des activités humaines, qu'une partie des GES rejoint celle déjà accumulée, au-dessus de nos têtes, dans l'atmosphère, en faussant l'harmonie naturelle du climat, ce qui conduit à son réchauffement, dont les effets se font sentir, de plus en plus cruellement.
Les scientifiques mesurent les quantités de GES, exprimés en PPM, présentes dans l'atmosphère, ils dressent des courbes des températures, de la fonte des glaces aux pôles et celles des précipitations, de la montée des océans, ils font des prévisions mais sans pouvoir en expliquer les causes, tout ce que l'on sait, c'est que le climat sur notre Terre évolue constamment et que l'activité humaine y est pour quelque chose, notamment dans la perte de la biodiversité. Mais pour quelle part ?
Tout ce que l'on suppose savoir, c'est qu'il faudra changer de mode de vie, pour réduire « l'empreinte carbone » de nos activités, mais les restrictions à mettre en œuvre sont telles, notamment dans le domaine de la circulation et des transports que, hormis quelques mesures de lutte contre la pollution, il n'existe aucun plan.
De conférences internationales organisées sous l'égide de l'ONU, les COP, se tiennent régulièrement, des engagements sont pris, comme le Protocole de Kyoto et en 2015 le Traité de Paris sur le climat, sans engagements contraignants pour (vous en avez lu 25%, il reste à lire 75%, de cet article.)
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