La question climatique finit par conduire à une fracture générationnelle

Les jeunes générations reprochent à la génération au pouvoir leur inertie, face aux urgences climatiques qui supposent une modification fondamentale de nos conditions de vie, auxquelles personne n'est déjà prêt.

Dans ce contexte, c'est la génération des baby-boomers, composée de ceux qui sont nés entre 1946 et 1964 la génération d'après-guerre, actuellement au pouvoir, qui est dans le collimateur des plus jeunes générations, c'est un phénomène qui aujourd'hui prend racine partout.

Le 5 novembre, alors qu'une jeune députée néo-zélandaise, âgée de 25 ans, défendait l'urgence de la lutte contre le réchauffement climatique devant le parlement dont elle est membre, l'un de ses collègues, plus âgé qu'elle a trouvé bon de huer son intervention.

Alors sa jeune collègue, pour le faire taire a imaginé une formule aussi cinglante que lapidaire, qui fait depuis le tour de la terre : « OK, Boomer ».

C'est (vous en avez lu 26%, il reste à lire 74%, de cet article.)

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