Les députés ont approuvé un droit à l'aide à mourir

Adoption historique d'une nouvelle loi sur la fin de vie : le droit à l'aide à mourir encadré et clarifié par l'Assemblée nationale. C'est la troisième loi sur la fin de vie, voulue par le président Macron, qui a abordé franchement la réponse attendue, celle de l'aide à mourir, que les deux premières ont occultée. La première loi a parlé des soins palliatifs, totalement inconnus et qui sont encore loin d'être généralisés, faute de moyens et d'équipes formées, toujours totalement absentes en médecine de ville.

La seconde loi sur la fin de vie a précisé la nature des soins palliatifs, avec la possibilité, sur décision des soignants, d'administrer à un patient en fin de vie une lotion létale pour le conduire à la mort. A cette époque, des services installés dans les CHU ont fait leur apparition, mais(vous en avez lu 18%, il reste à lire 82%, de cet article.)

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