A la recherche de solutions pour remplacer l’écotaxe, en difficulté

Le gouvernement n’a pas réussi à mettre en place l’écotaxe, après avoir fait réaliser, aux frais d’un prestataire privé, dans le cadre d’une délégation de service public, un dispositif ingénieux mais couteux, couvrant l’ensemble du territoire métropolitain.

De report en report, il semble avoir abandonné, implicitement ce dispositif, tout en cherchant des pistes pour trouver les fonds, qui en étaient attendus, pour financer des infrastructures de transport écologiques, mais aussi pour l’indemnisation du prestataire évincé, qui commence par réclamer son dû.

Ce dossier est entre les mains de la nouvelle ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, qui est mise à l’épreuve à cette occasion.

Elle a évoqué d’emblée deux pistes à envisager, pour remplacer le dispositif controversé de l’écotaxe, qu’il a fallu mettre en sommeil, face à la fronde qu’il avait déclenchée, avant même son lancement.

L’idée de Ségolène Royal est de cibler uniquement les camions étrangers, circulant en France, en l'expliquant sur une chaine de radio et de télévision.


Elle a précisé « Ce serait tout à fait légitime qu’un camion étranger qui (vous en avez lu 41%, il reste à lire 59%, de cet article.)

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