La COP 27 n'a pas dérogé aux habitudes à car à mi-parcours rien de notable n'a progressé

Après les discours d'entrée usuels, qui insistent sur l'urgence climatique et sur la nécessité de mettre fin aux émissions des gaz à effet de serre en cessant de brûler des énergies fossiles, les discussions qui se succèdent progressent à la marge, tandis que le fin de la COP s'approche, dans l'attente d'un sursaut, qui viendra des ministres des 196 pays attendus en fin de session, qui vont tenter de débloquer les sujets en panne, cette fois-ci, les fortes divisions entre les pays du Nord et du Sud, pour ne pas terminer sur un échec.

Le ministre des affaires étrangères égyptiennes qui préside la COP 27 au nom de pays hôte, a reconnu qu'il reste beaucoup d'efforts à faire si nous voulons obtenir des résultats significatifs et tangibles dont nous pourrons être fières, en ajoutant qu'il faut changer de vitesse, ce qui est évident.

En fait, mis à part le (vous en avez lu 25%, il reste à lire 75%, de cet article.)

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