Présentation de la réforme du permis de conduire

Rien ne va plus dans ce domaine, à cause des délais d’attente pour passer le permis et, surtout pour le repasser après un premier échec.

Au dire des professionnels de la formation des conducteurs, c’est la faute à l’Etat qui ne consacre pas les moyens nécessaires à l'organisation du passage des examens, ce qui se traduit par un nombre notoirement insuffisant d’examinateurs en fonction.

En présentant sa réforme, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a reconnu que les délais d’attente sont beaucoup trop longs, surtout pour repasser l’examen de la conduite, après un premier échec.

Ces délais sont en moyenne de 98 jours, pendants lesquels le candidat doit reprendre des cours de conduite, ce qui augmente le prix du permis et retarde d’autant la recherche d’un premier emploi pour certains.

Contient de cette situation, Bernard Cazeneuve s'est donné pour objectif de réduire cette durée à 45 jours d’ici fin 2015, le temps qui lui semble nécessaire à la mise en place de sa réforme.

Pour commencer, le ministre envisage de retirer la charge de la surveillance des examens du Code de la route aux inspecteurs, en mobilisant à cet effet, à partir du 1er juillet prochain, 50 gendarmes et policiers retraités.

Le ministre reconnaît (vous en avez lu 50%, il reste à lire 50%, de cet article.)

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