Témoignage d'un enfant : 1938/1942
Article lu 7907 fois, depuis sa publication le 17/02/2014 à 14:45:13 (longueur : 1606 caractères)
Après l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne, les juifs obtenaient assez facilement un passeport allemand, avec un visa de sortie, mais personne ne voulait d’eux.
Pour quitter l’Allemagne nazi, il fallait franchir la frontière d’un pays limitrophe, au risque d’être renvoyé, d’où on venait.
La France délivrait aux clandestins qui avaient réussi à quitter la zone frontalière et arriver à Paris, un titre provisoire, intitulé « refus de séjour ».
Puis à la déclaration de le guerre, les hommes furent internés, les femmes et enfants assignés à résidence, en tant que citoyens d’un pays ennemi.
A partir d’octobre 1939, après la débâcle, les juifs étrangers étaient soumis aux lois de Vichy, les hommes restaient internés, les femmes et les enfants étaient assignés à résidence, loin des villes en zone libre.
A la mi-juillet 1942, policiers et gendarmes procédait à rafles ordonnées par Vichy, en vue de leur déportation, dans le cadre de la solution finale décidée par Hitler.
Il restait une toute petite porte de sortie, pour la Suisse, ouverte au compte goutte, qu’il fallait atteindre au bon moment, au risque de tomber entre les pattes de la milice qui guettait à la frontière franco-suisse.
C’est le récit de se périple vécu par un petit garçon, nous vous recommandons de lire.
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