Les accords sur le télétravail, qui approchent de leur date d'expiration, doivent être renégociés (Erik Kauf)

La tendance observée est que les employeurs souhaitent encourager le retour au bureau de leurs employés. Cependant, ils ne visent pas à mettre fin complètement au modèle hybride, qui combine travail au bureau et à domicile. Le but est plutôt de limiter ce que certains appellent ‘l'open bar' du télétravail, en vue de mieux encadrer les pratiques des salariés, parmi lesquels certains semblent avoir abusé de cette flexibilité.

Un exemple notable est celui des employés d'un groupe publicitaire de renom. En octobre, ils ont été informés que, dès le 1er janvier 2024, le télétravail serait limité à deux jours par semaine, et la présence au bureau serait requise tous les lundis. Cette annonce a suscité des interrogations, notamment sur la faisabilité de réadapter les habitudes de travail, d'autant plus que les bureaux flexibles et les espaces de réunion se font rares.

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