La fiscalité écologique sert de prétexte à l'Etat

Nous avons à faire à un Etat désargenté, qui a des besoins pressants d'argent, en étant harcelé de toutes parts et qui n'arrive pas à faire baisser, d'une manière significative, ses frais de fonctionnement.

Si les taxes « vertes » procurent des recettes croissantes à l'Etat, elles sont perçues pour la bonne cause, son objectif est d'inciter les citoyens à changer leurs habitudes, de consommer mieux, en consommant moins, c'est la raison d'être de la fiscalité écologique.

La hausse de la fiscalité écologique s'inscrit dans cette optique, notamment des prix des carburants à la pompe, taxée en moyenne à 75 %, qui doit inciter les automobilistes à adopter une conduite économique, à changer de voiture et surtout à rouler moins.

La taxation des carburants est mal supportée par ceux qui doivent réduire leur consommation, à cause du prix et qui y voient une atteinte à leur liberté de circuler pour économiser le précieux carburant.

La hausse des taxes, qui est venue s'ajouter au prix lui-même des carburants était programmée et n'a surpris personne.

La loi de (vous en avez lu 19%, il reste à lire 81%, de cet article.)

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