Après l'incendie de Notre Dame il n'y a pas d'alerte rouge

Les rapports de l'Agence régionale de santé, l'ARS sont rassurants à cet égard et si l'ARS reconnaît un risque à Paris, elle ne le lie pas forcément à l'incendie de la cathédrale.

Sur les 400 plombémies constatés seuls trois cas de saturnismes dont il faut s'occuper, ont été constatés, dont deux avec des causes à domicile non liées à l'incendie.

L'incendie de Notre Dame n'a pas provoqué d'épidémie de saturnisme comme pouvait le faire craindre le niveau important de plomb retrouvé notamment dans plusieurs écoles du centre de Paris, expose au nuage de fumé dégagé par l'incendie de la toiture, chargée en plomb.

Les prélèvements réalisés après la catastrophe ont en revanche mis en évidence l'existence de sources d'exposition dans la capitale qui ne se limitent pas aux 400 (vous en avez lu 26%, il reste à lire 74%, de cet article.)

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