Une source de discussions, les enjeux économiques de la réduction des émissions de CO2

La Commission de Bruxelles doit formuler le 22 janvier prochain, à l’attention du conseil des ministres des 28 Etats membres en charge de l’écologie et de l’énergie, ses propositions de politique climatique qui dépendra de l’objectif que l’Union européenne se fixera pour 2030.

De cet objectif découlera la position que l’Union européenne défendra en décembre 2015 à la conférence de l’ONU sur le climat, qui se tendra à Paris, tout en ayant une incidence immédiate sur le secteur énergétique européen.

L’hypothèse retenue par la Commission est l’adoption d’un objectif de réduction de 40%, par rapport à 1990, des émissions de gaz à effet de serre, en passant par une réduction de 20 % en 2020, ainsi que sur les moyens à mettre en œuvre pour l’atteindre.

On sait que ces moyens sont de deux ordres, d’une part la place accordée par les pays membres aux énergies renouvelables, pour limiter le recours aux énergies fossiles et à l’énergie nucléaire et, d’autre part , les économies d’énergie qu’il est possibles de réaliser dans l’industrie et en réhabilitant le parc immobilier existant.

Parmi les enseignements à tirer des modèles qu’à fait tourner la (vous en avez lu 43%, il reste à lire 57%, de cet article.)

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