Une mission parlementaire a constaté le retard de la France en matière de rénovation énergétique des bâtiments

Ce n'est pas le premier rapport sur le sujet, chaque fois l'urgence à rénover le bâti en France, pour des raisons environnementales, sociales, sanitaires et économiques est rappelée, les objectifs à atteindre en 2050, une date qui se rapproche, sont rappelés clairement, chaque fois le constat et le même, car le retard est énorme.

Les conclusions du dernier rapport, présenté le 10 février n'échappent pas à la règle, pour commencer on apprend qu'il a été rédigé après une trentaine d'auditions et quarante entretiens, ce qui a permis de faire un large tour d'horizon avec les personnes sur le terrain.

A titre de conclusion, le président de la mission déplore « qu'il y a une inadéquation entre les objectifs très ambitieux et les moyens mis en œuvre « ce qui fait que la situation n'évolue pas, comme elle le devrait, « le rythme est trop lent, à peine 0,2% des travaux sont engagés ».

Le défi est énorme quand on sait que 94 % des logements affichent une étiquette énergétique inférieure à B, pour le mesurer.

Dans le (vous en avez lu 28%, il reste à lire 72%, de cet article.)

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