Pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique encore faut-il en analyser les causes

Le dioxyde de carbone, le CO2 est le principal gaz à effet de serre, mais il n'est pas le seul, pour mesurer l'effet des différents polluants comme le méthane ou le dioxyde d'azote, les spécialistes calculent un pouvoir de réchauffement global en équivalent CO2.

C'est cette méthode que le Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique, le Citepa utilise pour étudier les émissions françaises, dans son rapport Secten.

Pour relativiser le rôle de la France dans le changement climatique, certains rappellent que le pays ne représente qu'environ 1% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, les GES, un constat étayé par les faits, les émissions françaises ne sont qu'une paille en comparaison de celles de la Chine, des Etats-Unis ou de l'Inde, qui émettaient à eux trois, en 2017, plus de CO2 que le reste du monde, selon les chiffres compilés par le site globalcarbonatlas.org.

En Europe, c'est l'Allemagne qui arrive en tête, pour avoir réactivé ses mines de lignites, le charbon brun, à ciel ouvert, et construit de nouvelles centrales thermiques, pour la production d'électricité, après l'arrêt intempestif de la moitié de son parc nucléaire, après la catastrophe nucléaire de Fukushima au Japon, qui n'était pas d'origine nucléaire.

Pour ce qui est de la France, ce 1% (vous en avez lu 22%, il reste à lire 78%, de cet article.)

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