L'AIE insiste sur l'effort à fournir pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C d'ici la fin du siècle

A la veille de la COP 26 à Glasgow en Ecosse, après l'échec de la conférence préparatoire de l'été dernier à Bonn, les esprits ne sont pas orientés à l'optimisme à cause des discussions sans fin entre les pays du Nord, les riches et les pays du Sud, qui attendent les aides financières promises pour faire face aux conséquences du réchauffement dont ils ne se sentent pas responsables.

Ces engagements ont été pris avant la crise économique de 2008 et sont difficilement tenables par de nombreux pays, alors que les catastrophes climatiques, rendant la transition climatique de plus en plus urgente, s'accélèrent.

C'est dans ce contexte que le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie, l'AIE (Agence Internationale de l'Energie) met en garde contre le risque de perdre pour de bon la possibilité de limiter le réchauffement à 1,5°C, alors qu'il était d'abord question de 2°C, c'est à la demande insistante des Etats insulaires du Pacifique, confrontés à la menace de submersion, du fait de la montée de la mer, que l'objectif de réchauffement limité, dans la mesure du possible à 1,5°C, a été rajouté au traité.

Habituellement, (vous en avez lu 34%, il reste à lire 66%, de cet article.)

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