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En France, cette question a pris une teneur politique et les pouvoirs publics, ont pour donner des gages aux écologistes, fait voter en juin 2011 une loi interdisant, la recherche et l’exploitation de gisement d’hydrocarbures, par la technique de la fracturations hydraulique.
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Cette technique, qui consiste à injecter sous pression, dans la roche renferment du gaz et aussi du pétrole de schiste d’importantes quantités d’eau , de sable et de produits chimiques présente des risque de pollution des nappes phréatiques, en plus de tous les risques inhérents à l’exploration et à l’exploitation pétrolière, qui sont, de tout temps dans le collimateur ,des écologistes.
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La loi de 2011 interdit l’exploitation de gisement d’hydrocarbures par de moyens non conventionnels, ce qui vise, l’exploitation des gisements de gaz de schiste, alors que les résultats des premières campagnes d’exploration en laissaient espérer leur présence en grande quantité dans le sous-sol français.
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Il est bon de savoir qu’aucune source d’énergie notable, n'a été mis en évidence en France depuis la découverte du gisement de gaz de Lacq, aujourd’hui épuisé et que la France doit importer la quasi-totalité des hydrocarbures, dont elle a besoin et que ces importations pèsent lourdement sur le déficit de sa balance commerciale.
Des permis de recherche ont été délivrés en son temps , notamment à Total, associé à d’autres entreprises pétrolières étrangères, qui ont été suspendus puis annulés, faute par leurs bénéficiaires de pouvoir faire état d’autre moyens de prospection et d’exploitation des gisement de gaz de schiste que la fracturation hydraulique, interdite par la loi de juin 2011.
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Disons tout de suite que de tels moyens n’existent pas, où n’existent pas encore et que les améliorations annoncées par les compagnies pétrolières américaines, qui exploitent massivement et sans retenue leurs gisements de gaz de schiste, se situent à la marge et n’apportent aucune modification notable à le technique de la fracturation hydraulique, la seule actuellement opérationnelle.
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Le problème reste entier alors que le gaz, qu’il soit naturel ou de schiste, est devenu la principale source d’énergie pour la production d’électricité pouvant se substituer à l’énergie nucléaire , en attendant l’émergence, en quantité suffisantes et a des prix supportables par les consommateurs d’énergies renouvelables, ce qui est encore loin le cas.
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Rappelons que la production actuelle d’électricité repose en France - pour l’essentiel à 75% sur le nucléaire et à 15% sur l’énergie hydraulique, tributaire du remplissage des barrages.
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En renonçant d’avance à l’exploitation des gisements de gaz de schiste susceptibles d’être mis en évidence dans son sous-sol , notre pays se (vous en avez lu 62%, il reste à lire 38%, de cet article.)
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