Les médecins généralistes vont pouvoir convaincre leurs patients de se laisser vacciner par eux

Depuis le 1er octobre les médecins ont accès au vaccin à ARN messager de Pfizer BioNTech en doses individuelles, prêtes à être injectées, qui se conservent dans un réfrigérateur, tout en accomplissant les formalités réglementaires, via la carte vitale, pour la délivrance du pass sanitaire.

Cette nouvelle facilité devrait diminuer sensiblement le nombre de personnes non vaccinées qui se limitera aux « antivax » irréductibles, qui finiront par être rattrapé par le virus et tomber plus ou moins gravement malade, alors que tout est fait pour se faire vacciner en France, sans les moindres frais.

Du fait de sa situation marquée par des difficultés sociaux économiques persistantes, la Seine-Saint Denis affiche un des taux de vaccination anti-Covid-19 les plus bas de la métropole, juste derrière la Haute-Corse, au 3 octobre 61,3% de la population de Seine-Saint Denis avait reçu une première dose de vaccin, contre 74,9 % pour l'ensemble de la France métropolitaine, rapporté à la seule population éligible, les 12 ans et plus le taux pour la métropole s'élevait à 87,4 %.

Malgré (vous en avez lu 30%, il reste à lire 70%, de cet article.)

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