Les chaleurs précoces annoncées pour les jours qui viennent n'arrangent pas le déficit en eau dont la France est la victime

La semaine qui vient s'annonce estivale avec de fortes chaleurs inhabituelles pour un mois de mai, avec des températures de 25 à 30°C, selon les régions, mais sans ce l'on puisse parler de canicule, car les températures nocturnes ne seront pas torrides, tandis que les températures grimperont l'après-midi, elles baisseront la nuit, ce qui fait que la hausse des températures ressenties dans les habitations dépendra de leur exposition au soleil.

Dans les prochains jours, les températures maximales de l'après-midi seront supérieures de 8°C à 9 °C par rapport aux moyennes saisonnières observées entre 1981 et 2010, alors que cette période de référence n'est pas adaptée au changement climatique, dont elle ne tient pas compte, si (vous en avez lu 24%, il reste à lire 76%, de cet article.)

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