Les risques de submersion se précisent à New York

La ville de New York est vulnérable aux changements climatiques en cours, du fait de sa situation géographique.

Les risques qu’elle encourt n’ont rien à voir avec le risque de crues majeures à laquelle sont exposées d'autres villes, dont Paris et des communes de l’Ile de France, qui ont connu, en 1910 la crue du siècle, dont on craint théoriquement le retour depuis 2010 et qui sont d’une autre nature.

Les structures de la ville de Paris ont peu changé en un siècle, alors la région Ile de France traversée par des autoroutes et par des vois ferrées, a été bétonnée, au détriment des zones humides, comme on peut l’imaginer.

On ne sait pas trop comment l’eau, en cas de crue majeure pourrait s’écouler, ce qui n’a pas empêché l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile de France de concevoir une application, à la disposition des Franciliens.

Mais revenons à la situation de Big Apple, la Grosse Pomme, New York dont le risque de submersion vient d’être quantifié, dans une étude publiée dans la revue Geophysical Research Letters américaine.

On y apprend que trois des neufs records de hautes eaux enregistrés dans le port de New York, l’ont été en (vous en avez lu 47%, il reste à lire 53%, de cet article.)

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