L’OMS vient de dresser le bilan de l’antibiorésistance mondiale généralisée

Ce bilan, dressé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dans pas moins de 144 pays, lui fait craindre le pire, alors que des infections courantes pourraient, selon elle à nouveau tuer dans le monde entier.

Pour l’OMS, la question est brulante et le danger est bien réel en affirmant :
« cette grave menace n’est plus une prévision, mais bien une réalité dans chaque région du monde, et tout un chacun, quels que soient son âge et son pays, peut être touché. »

L’ambition de l’OMS est de faire prendre conscience à l’opinion publique internationale que le péril le plus immédiat vient d’abord des germes familiers, à cause de leur résistance croissante à tous les antimicrobiens, c’est-à-dire les antibiotiques, les antiviraux, mais aussi les antifongiques et les antiparasitaires.

Alors, que, peut-on encore faire, en sachant que depuis 25 ans, plus aucune nouvelle découverte de la famille des antibiotiques a eu lieu ?

A l’échelon individuel, le bon usage des antibiotiques implique le (vous en avez lu 38%, il reste à lire 62%, de cet article.)

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