L'ère post-Brexit commencera pour de bon le 1er janvier 2021

La sortie de la Grande Bretagne de l'Union européenne, effective depuis le 1er février de cette année, n'aura en fait aucunes conséquences dans les mois à venir ou presque.

Le Royaume-Uni est entré, depuis le 1er février, dans une période transitoire durant laquelle il reste soumis aux règles obligatoires communautaires, et ce, sauf prolongation, jusqu'à la fin de l'année, ce dont le Premier ministre britannique ne veut pas, en comptant négocier d'ici là les termes de la future relation de son pays, avec les 27 Etats restant dans l'Union européenne.

Cependant, la Commission européenne a mis le Premier ministre, Boris Johnson, en garde contre ce calendrier particulièrement serré, car cette négociation s'annonce évidemment complexe tant les sujets sont nombreux.

Citons pour mémoire quelques-uns comme les contentieux commerciaux, la coopération en matière de sécurité et de renseignement, les standards pour l'aviation civile, l'accès aux eaux internationales pour la pêche, la participation au programme d'échange d'étudiants Erasmus, l'approvisionnement en électricité et en gaz ou encore la réglementation des médicaments.

La Grande Bretagne, bien que retiré de toutes les instances communautaires ; le Parlement, la Commission et les conseils des ministres, contribuera (vous en avez lu 34%, il reste à lire 66%, de cet article.)

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