Contre la pollution en ville la circulation différenciée n'est pas la bonne solution

Une étude inédite effectuée à Paris a permis de mesurer les émissions réelles des voitures et des deux roues, notamment les émissions d'ozone l'été, lorsque les températures sont élevées, ce qui a permis de constater que les voitures à moteur diesel, même les plus récentes, émettent des oxydes d'azote, des N0x, très toxiques, à des niveaux supérieurs aux normes homologuées et aux véhicules à essence.

Cette étude a été conduite par le Conseil international pour un transport propre, l'ICCT une organisation non gouvernementale, le même qui était à l'origine de la dénonciation du dieselgate, qui semble avoir les moteurs diesel dans son collimateur.

Cette étude, menée entre le 18 juin et le 16 juillet 2018, dans les rues de Paris, a donné lieu à une campagne de collecte de données sans précédent, dans le cadre du projet « The real Urban Emissions Iniatives ».

En utilisant des (vous en avez lu 28%, il reste à lire 72%, de cet article.)

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