Les touristes de l’Everest promus techniciens de surface

Les touristes qui partent à un rythme de plus en plus soutenu, facilité par les équipements modernes, à l’assaut de l’Everest, le toit du monde et y abandonnent tout ce qui ne mérite pas, d’être ramèné, à grand effort, au pied de la montagne.

On y trouve des bouteilles d’oxygène vides, des tentes et des détritus de toutes sortes que les touristes peuvent laisser derrière eux.

Ces détritus, recouverts rapidement par de la neige fraiche, finissent toujours par apparaitre à la surface, dans un rayon de soleil, pour constituer des amas de détritus, pour former, comme chez nous, des décharges sauvages, sauf que l’on se trouve à 8 000 mètres d’altitude.

Les autorités népalaises, sur le territoire desquelles se situe le massif de l’Everest y envoient régulièrement, à grands frais, des sherpas, pour y faire le ménage, en ramassant les ordures laissées par les touristes, peu sensibles à la protection de la nature.

Plutôt que de créer une taxe d’enlèvement des ordures, comme nous l’aurions fait en France, le gouvernement népalais a créée une prestations en nature, imposée à chaque touristes, promu à cette occasion « technicien de surface ».

Il faut savoir que chez nous, le personnel de nettoyage figure dans (vous en avez lu 49%, il reste à lire 51%, de cet article.)

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