Inquiétude de l'Inpes relative à la pollution atmosphérique en ville en été

C’est l’impression que donnent les conclusions du dernier bulletin hebdomadaire épidémiologique de l’Institut national de veille sanitaire, consacré à la pollution atmosphérique urbaine.
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Une équipe de l’Inpes, celle de Mathilde Pascal, a étudié l’influence de la saison et de la température sur les effets à court terme de l’ozone et des particules fines (PM 10) inférieurs à 10 microns, dans 9 villes françaises.
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Ce travail a été mené pour la période 1998-2006 pour l’ozone et pour la période 2000-2006 pour les particules fines.
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Ainsi, on apprend que pendant l’été, toute augmentation des particules en suspension dans l’air, ayant un diamètre inférieur à 10 microns par mètre cube d’air, se traduit par une élévation de près de (vous en avez lu 31%, il reste à lire 69%, de cet article.)

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