La canicule de la mi-juin doit inciter à se préparer au réchauffement climatique

La canicule précoce de la mi-juin, avec des pics de températures de 40°C et un thermomètre qui ne descend pas en dessous de 20°C la nuit, est la conséquence du réchauffement climatique aujourd'hui irréversible, que nous pouvons encore limiter et auquel nous devons nous adapter, en changeant de mode de vie, notamment dans le domaine de l'habitat et des déplacements, qui sont à repenser. Tout est à revoir, on n'y arrivera pas sans y mettre des moyens financiers considérables et sans mesures contraignantes, pour réduire les émissions des gaz à effet de serre, les GES.

Les émissions de GES ne doivent pas être supérieures à celle que la planète peut absorber, c'est ce que l'on appelle la neutralité carbone, en sachant qu'à côté des émissions d'origine humaine, il y a des émissions naturelles, celles que nous pouvons éviter, en mettant notamment fin à la déforestation, mais pas à d'autres, comme celles provoquées par des incendies de forêts, aggravés par la chaleur et la sécheresse, ici la nature ne nous vient pas en aide.

Actuellement, l'industrie automobile qui sait que la voiture à moteur thermique est condamnée, mise sur (vous en avez lu 17%, il reste à lire 83%, de cet article.)

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