Les recherches du Boeing de la Malaysia Airlines se poursuivront sans limites de temps

Le 8 mars dernier, le vol MH370, un Boeing de la compagnie Malaysia Airlines, parti de Kuala Lumpur pour Pékin a, pour des raisons inconnues, dévié de son plan de vol, pour disparaitre des écrans radar, sans plus donner signe de vie.

L’équipage ne s’est pas manifesté, ce qui a accrédité, entre autres, l’hypothèses d’un détournement, qui aurait mal tourné.

Le gouvernement australien, qui s’est impliqué dès le premier jour dans la recherche de cet avion, dont, on avait perdu la trace, une heure après son décollage avec 226 passagers et 13 membres d’équipage, vient de promettre que l’Australie poursuivra les recherches sans limites de temps.

Pour lui, le monde a le droit de savoir c’est qui s’est passé, mais le saura-t-il un jour, tant l’océan indien est vaste ?

Après que toutes les enquêtes et recherches se soient soldées par un échec, le Premier ministre malaysien a admis la disparation de l’avion en mer, dans une vaste zone difficile à délimiter et dont l’une pointe se situe à environ 1850 km de la côte australienne occidentale, mais sans en avoir la moindre certitude.

Pour cette raison, c’est de la ville de Perth, la principale ville de cette côte australienne, que partent actuellement les recherches.

Les experts soulignent la nécessité de mettre la main sur des débris de l’avion afin de rétrécir la zone que devra parcourir le détecteur de boîtes noires envoyé par la marine américaine, une sonde qui a permis de (vous en avez lu 60%, il reste à lire 40%, de cet article.)

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