La Cour Internationale de justice vole au secours des baleines de l’Antarctique

La CIJ (Cour Internationale de justice), en ordonnant au Japon de cesser la chasse à la baleine dans l’Antarctique, l’oblige à respecter à la lettre le moratoire de 1986, qu’il a accepté.

Le Japon contourne ce moratoire en délivrant des permis de chasse pour des motifs scientifiques, dans le cadre le programme de recherche Jarpa II, en sachant que les baleines une fois mortes finissent dans les assiettes de son bon peuple, ennemi de tout gaspillage.

La CIJ a ordonné par la voix de son président, Petre Tomka, au Japon de révoquer tout permis, autorisation ou licence déjà délivrée et de s’abstenir d’accorder tout nouveau permis au titre de ce programme.

Cette décision a été rendue à la demande de l’Australie qui a saisi la CIJ en 2010, afin de mettre fin à cette chasse illégale.

Selon Canberra, les pêcheurs japonais auraient tué plus de 10 000 baleines entre 1987 et 2009, à raison d’un millier par an.

Ils visaient principalement, de (vous en avez lu 38%, il reste à lire 62%, de cet article.)

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