Les revendications des pays riverains sur le Grand Nord se précisent

Depuis que le réchauffement atmosphérique fait fondre la banquise et rend la zone arctique progressivement accessible, l'idée des Etats côtiers, de la Russie au Canada, en passant par le Danemark qui contrôle le Groenland, les Etats-Unis et la Norvège se portent sur les richesses supposées exploitables de son sous-sol.

Plus concrètement, la perspective de l’ouverture de nouvelles routes maritimes en Arctique du fait du recul des glaces laisse pointer le potentiel pétrolier et gazier de cette zone, estimé à 20% des réserves mondiales.

Elle a conduit les Etats côtiers à prendre leurs marques pour y étendre leur souveraineté au-delà des 200 milles marins de leur zone économique exclusive, à condition de prouver qu’il existe une continuité géologique, entre leur territoire et le plancher océanique.

A cet effet, le (vous en avez lu 34%, il reste à lire 66%, de cet article.)

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