Aux Etats-Unis, on s’inquiète de l’inflammabilité du pétrole de gisements de schiste

Ce n’est qu’à la suite de la survenance d’un sinistre que l’on peut prendre conscience de l’existence d’un risque, qu’il n’était pas possible de détecter auparavant.

Ainsi, suite du déraillement de trois trains transportant du pétrole de schiste, deux aux Etats-Unis et un au Canada , entrainant de graves incendies, on s’est posé la question de l’inflammabilité du pétrole de schiste, par rapport a celle du pétrole brut traditionnel.

D’après des inspections préliminaires conduites après les récents déraillements dans le Dakota du Nord, en Alabama et au Québec, impliquant du pétrole brut du gisement de Bakken, l’agence américaine de sécurité des oléoducs requiert de tester correctement, signaler et classifier les matériaux dangereux.

L’objectif est de les dégazéifier correctement, si nécessaire, avant le transport.

Rappelons que la ville de Lac-Mégentie au Québec a connu en juillet (vous en avez lu 36%, il reste à lire 64%, de cet article.)

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