Les premiers déplacés climatiques sont les insectes porteurs de maladies tropicales

Avec le réchauffement climatique les insectes tropicaux trouvent de nouveaux écosystèmes où ils finissent par s’implanter.

L’un des plus actifs est l’Aedes alpopictus, désigné par insecte tigre à cause de son aspect, qui a ,notamment propagé l’épidémie de chikungunya, en partant du Kenya jusqu’aux Antilles.

On en trouve aussi, depuis peu, quelques spécimens en France, et il suffit qu’une femelle, c’est elles qui piquent, s’infecte elle-même en piquant le porteur d’un virus, venu de loin, pour pouvoir propager sa maladie chez nous.

Les premiers insectes tigres ont été découverts, en Europe, dans le bassin méditerranéen et chez nous, notamment en Corse et à Nice.

Ainsi, on constate que les régions tempérées ne sont plus épargnées, pas plus que les villes, ni même les régions froides.

Ce risque trouve son origine dans la mondialisation, en sachant qu’il suffit qu’un touriste se fasse piquer au loin et rentre chez lui, porteur d’une maladie tropicale, pour propager la maladie à des milliers de kilomètres de son foyer.

L’insecte tigre pourrait véhiculer, à lui seul, selon les experts du Centre for Disse Control americain, pas moins de 22 virus, dont quatre sont particulièrement redoutables pour l’homme, dont la fièvre jaune et le virus du Nil occidental.

Cependant, il véhicule principalement la (vous en avez lu 60%, il reste à lire 40%, de cet article.)

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