Les discussions pour ou contre la e-cigarette se poursuivent activement

Ainsi, en Grande Bretagne, alors qu'un rapport du Public Heath England, le PHE, qui dépend du ministère de la santé britannique affirme que la cigarette électronique est environ 95 % moins nocive que le tabac, et que le professeur Ann McNeil du Kings Collège de Londres y voit un moyen efficace d'arrêter de fumer, un éditorial du Lancet parle de précipitation et d'un travail méthodologiquement faible, en parlant de l'étude publiée par le PHE.

Dans une réponse au Lancet, le PHE a affirmé la probité des auteurs du rapport, en regrettant aussi que le Lancet ne mette pas en avant le reste des conclusions de l'étude.

Il est important de noter que ce rapport va à l'encontre du rapport de l'Organisation mondiale de la santé, qui préconisait un encadrement strict de l'usage de la cigarette électronique, qui n'existe pas, notamment pas en France.

Pour cette raison, cinq ans après son arrivée sur le marché français, la (vous en avez lu 33%, il reste à lire 67%, de cet article.)

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