Les perspectives françaises dans l'énergie renouvelable sont en évolution

Après un an de travail utile, à en croire le ministre de la transition énergétique et solidaire, Nicolas Hulot affirme avoir bâti, en appliquant sa méthode, la transition énergétique de la France.

En fait, il s'agit de la première version de la programmation pluriannuelle de l'énergie, le PPE, la feuille de route de la transition énergétique pour 2019-2023 et 2024-2028 qui doit sortir avant la fin de cette année.

Sa méthode a surtout consisté à « manger son chapeau » car il devait dresser la liste des réacteurs nucléaires à fermer par EDF pour ramener la production de l'atome à 50 % du mix électrique de la France en 2025, selon l'héritage que lui a laissé Ségolène Royal, sous la présidence de François Hollande, qui n'a même pas fermé la centrale de Fessenheim, inscrite dans son programme.

Il a reconnu que ramener le nucléaire à 50 % du mix électrique aurait été, socialement d'une brutalité inouïe et c'était incompatible avec la fermeture nécessaire des centrales thermiques.

De plus, pour ne pas manquer d'électricité, ceci supposait une montée en puissance des énergies renouvelables, les (vous en avez lu 19%, il reste à lire 81%, de cet article.)

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