Neutralité carbone : réduction des émissions de gaz à effet de serre et augmentation de leur absorption

Pour atteindre la neutralité carbone nous devons réduire simultanément les émissions de gaz à effet de serre et augmenter leur absorption. Autrement dit, à la date que nous nous serions fixés, la plus proche possible, car pendant ce temps la température sur notre planète monte inexorablement et cette situation est irréversible, nous ne devrons, le plus rapidement possible émettre, globalement plus de gaz à effet de serre, les GES, que la terre et les océans ne peuvent absorber, mais depuis le traité de Paris sur le climat, cela n'en a pas pris le chemin, alors nous devrons jouer sur les deux tableaux, mais la marge est limitée.

Les signataires de l'accord de Paris se sont engagés, d'une manière non contraignante, à réduire leurs émissions de GES, de manière à attendre la neutralité carbone, chacun en 2050, mais cela n'a commencé, même pas dans l'Union européenne, l'UE qui pourtant se veut exemplaire.

Dans ce contexte sept scientifiques Suédois expliquent dans une tribune portée à la connaissance du public par la presse, que la politique de l'UE, en matière de forêts et d'énergie contrecarre la possibilité d'arrêter le changement climatique à temps. Autrement dit, avant d'atteindre la température limite de 2°C, sans parler des de 1,5°C, qui n'est pas à notre portée, pourtant mentionné dans l'Accord de Paris sur le climat, en 2015.

Pour les scientifiques le réchauffement climatique approche rapidement des niveaux qui mettent note civilisation, telle que nous la connaissons en grand danger, que le temps commence à manquer pour échapper à un réchauffement de (vous en avez lu 24%, il reste à lire 76%, de cet article.)

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