Le soutien à l'économie a creusé le déficit de l'Union européenne qui a franchi la barre de 100% du PIB

Les mesures d'urgence face à la crise financière qui résulte de la pandémie de la Covid-19 font que la dette publique à la fin du 1er trimestre a culminé à 100,5 % du produit intérieur brut, le PIB selon les chiffres publiés le 22 juillet par Eurostar, la France y a participé largement avec un endettement de 118 % contre 100,8 % un an plutôt.

Ces hausses, attendues sont liées à la récession liée à la crise sanitaire qui a gonflé les déficits publics en raison du tassement des recettes et des mesures d'urgence déployées pour soutenir l'économie, comme en France le « quoi qu'il en coûte » qui a creusé le déficit de 9,2 % en 2020 et se poursuit autour de 9% en 2021, la dette publique pourrait baisser un peu, pour avoisiner 117,2 % du PIB.

Cette hausse est très forte mais elle est à relativiser car elle n'a rien à voir avec celle constatée après la crise financière de 2008, cela change complètement la donne explique le directeur des recherches chez Natixis, d'abord parce qu'elle est généralisée, l'ensemble des pays industrialisés ont vu leur ratio d'endettement gonfler dans (vous en avez lu 37%, il reste à lire 63%, de cet article.)

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