Une nouvelle proposition de fixation du prix du tabac qui risque de faire des vagues

Chaque fois que l'on arrive à convaincre un fumeur d'arrêter de fumer, un autre, malheureusement un plus jeune, prend le relais.

Les moyens mis en oeuvre pour informer le public des risques mortels que prennent les fumeurs sont de plus en plus percutants, comme l'actuelle campagne à la télévision.

Il faut avoir le coeur bien accroché, après avoir entendu à la télévision des fumeurs, le jour de leur décès, prendre congé des leurs, pour allumer une cigarette.

En fait, les fumeurs sont uniquement sensibles au prix des cigarettes et s'efforcent de s'en procureur à bon compte, par des achats frontaliers, des achats sur Internet et sur le marché noir, alimenté par des contrefaçons venues d'Asie, particulièrement nocives pour la santé des fumeurs.

Ces marchés alimentent un pourcentage croissant de la consommation, qui croit après chaque hausse des prix, chez les buralistes.

C'est dans ce contexte qu'un groupe de députés, à l'initiative de Michèle Delaunay, ancienne ministre, cancérologue, a décidé, à l'occasion de la discussion du budget de la Sécurité sociale de déposer un amendement qui prévoit que le (vous en avez lu 47%, il reste à lire 53%, de cet article.)

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