Les assureurs ont signé une nouvelle convention d'indemnisation dégâts des eaux et incendies

Cette convention concerne les immeubles collectifs en copropriété dont les occupants sont tantôt des copropriétaires et tantôt des locataires.

On y trouve aussi, en centre-ville, de plus en plus d'occupants peu soucieux de la conservation des biens, des occupants de très courte durée, qui se croient à l'hôtel.

Ce sont surtout le règlement des dégâts des eaux, de plus en plus nombreux, qui posent problème, du fait de la négligence des occupants temporaires et de la vétusté croissante des installations, qui remontent pour l'essentiel aux « trente glorieuses » et qui sont, vu leur âge à refaire en grande partie, dans la mesure où les copropriétaires en ont les moyens.

Dans ce contexte, la prise en charge des dommages incombe aux assureurs qui en l'absence d'une convention d'indemnisation peuvent se renvoyer la balle, ce qui n'est pas productif et nuit à l'idée que l'on peut se faire de l'assurance et des assureurs en général, connus du (vous en avez lu 28%, il reste à lire 72%, de cet article.)

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