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Pour protéger la qualité de l'eau potable il faut éviter les infiltrations sur les lieux de captage
C'était facile, dans le temps, avant que les animaux, les cultures intensives de colza, de blé, d'orge, de betteraves notamment ne partent à l'assaut des terres de culture, avec peu de haies telle qu'elle se pratique aujourd'hui.
C'était de tout temps l'un des soucis des majeurs des exploitations de sources d'eau thermales, bien que situés généralement à flanc de montagne, avec quelques rares terres agricoles en amont, peu propices à l'agriculture intensive, telle que pratiquée de nos jours.
Les nouvelles pratiques agricoles ne font pas l'affaire des grandes agglomérations qui puisent une partie de leur eau potable dans des régions agricoles où se trouvent les eaux souterraines qu'elles ont l'habitude de capter et qui doivent préserver leur (vous en avez lu 22%, il reste à lire 78%, de cet article.)
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