Pour Donald Trump, Greta Thunberg est une prophète de malheur

Au premier jour du 50ème Forum économique mondial à Davos, qui est l'évènement phare de l'année, des grands de l'économie mondiale, le président des Etats-Unis, s'est distingué, comme il a l'habitude de le faire, en fustigeant « les prophètes de malheur » du climat, sous le regard de la jeune Suédoise qu'il visait et qui avait regretté à la tribune, plus tôt dans la journée, que « rien n'avait été fait » pour enrayer le changement climatique.

Pour lui, ces prédicateurs de l'apocalypse « ce sont les héritiers des diseurs de bonne aventure de l'ancien temps », ce qui prouve qu'il reste toujours aussi climatosceptique, que par le passé.

Il a déroulé à Davos ses performances de croissance économiques et de création d'emplois, déjà en campagne pour sa réélection en novembre.

Pour lui « Ce n'est pas une époque pour le pessimisme, mais pour l'optimisme, les écologistes avaient prédit une crise de surpopulation dans les années 1960, une famine dans les années 1970, et la fin du pétrole dans les années 1980, ils veulent toujours dominer, transformer et contrôler tous les aspects de notre vie » en ajoutant pour terminer : « Nous ne laisserons jamais le socialisme radical détruire notre économie, ruiner notre pays ou supprimer notre liberté. »

C'était (vous en avez lu 39%, il reste à lire 61%, de cet article.)

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