Face à la résurgence de l'épidémie de la Covid-19 les réponses à y apporter sont difficiles à doser

Les dirigeants européens, sous pression par la montée de la seconde vague de contamination qui submerge déjà les services hospitaliers, hésitent à recourir une nouvelle fois au confinement, qui a fait ses preuves au printemps, après le relâchement des mesures de prévention constaté l'été, ce qui les conduit à mesurer, non pas seulement les risques économiques, en fait des certitudes, mais aussi les risques sociaux qui les accompagnent et surtout les risques psychologiques qui pèseraient sur la population, dont on ignore les réactions, en voyant que la crise n'est pas terminée et que tout recommence.

Certains pays ont franchi le pas, comme l'Irlande qui a été le premier pays en Europe à annoncer un reconfinèrent dur, à partir du 19 octobre, pendant six semaines, avec le risque de devoir le prolonger.

Les citoyens travailleront dans la mesure du possible chez eux, avec l'interdiction de se déplacer dans un rayon de plus de 5 km, en revanche, les écoles, les usines, les magasins jugés essentiels resteront ouverts.

Le gouvernement irlandais, d'un pays de (vous en avez lu 32%, il reste à lire 68%, de cet article.)

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