La gratuité des transports publics en ville fait son chemin

Quelques villes françaises ont déjà adopté la gratuité des transports collectifs, d'autres y sont pour, et l'étudient ou y sont totalement opposées, comme la présidente de la région Ile de France, Valérie Pécresse, qui en étudie, le coût.

La gratuité des transports collectifs a un coût, correspondant à la perte de recettes, diminuée des économies directes, réalisées en matière de frais de billetteries et en frais de contrôle des passagers.

Dans aucune ville, le coût du transport est intégralement payé par les usagers, une partie plus ou moins importante est payée par les entreprises au titre des frais d'acheminement de leur personnel, en plus de la prime transport versée qui leur est versée directement par leur employeur, le déficit restant est supporté par les communes et par les régions, qui augmenteront les impôts locaux.

Les villes en tirent des avantages directs, la diminution de la circulation automobile qui doit en résulter, moins d'encombrements en ville, moins de pollution d'où un gain de la qualité de vie des habitants, des (vous en avez lu 34%, il reste à lire 66%, de cet article.)

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