L’activité humaine agit sur les écosystèmes au point d’épuiser ses ressources naturelles

La pression exercée par l’humanité est telle, selon les conclusions du Fonds pour la nature, le WWF, que nous consommons chaque année 50 % de ressources de plus que celles que la Terre peut produire.

C’est la conclusion du rapport bisannuel présentée à l'Unesco, le 30 septembre fondé notamment sur l’indice planète vivante, l’IPV, qui mesure l’évolution de la biodiversité à partir du suivi de 10 380 groupes d’animaux sur tout le territoire, appartenant à 3038 espèces, allant des mammifères aux poissons.

Il en ressort que les effectifs des espèces sauvages ont décliné de 52 % entre 1970 et 2010, en quarante ans, dont les plus touchés sont les espèces marines avec une chute de 76 %, contre et un déclin de 39% pour les espèces terrestres.

Selon le directeur scientifique du WWF France, Christophe Roturier, son organisme a enrichi sa base de données d’un millier de populations, mais il a surtout changé de méthode, par une (vous en avez lu 34%, il reste à lire 66%, de cet article.)

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