Le service national civique ou universel arrive trop tard

C'est une promesse phare du candidat Macron, un service national universel destiné aux jeunes, sans objectifs et sans moyens pour le tester dès juin 2019, sous les auspices du secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'éducation national, qui vient d'être nommé et annoncé par lui dans une interview publiée par un quotidien du matin du 19 novembre, selon le nouveau mode de communication des membres du gouvernement, que personne ne connaît vraiment (On sait qu'il y a environ quarante ministres, autant de femmes que d'hommes au gouvernement, que l'équilibre se fait désormais par le sexe et non plus, comme dans le temps, en fonction des régions.)

Ce service, dit national et universel, le SNU, doit remplacer le service militaire d'antan, l'armée du peuple, supprimée par le président Jacques Chirac, après avoir été envoyé faire la guerre en Algérie, avec les maintiens ou des rappels sous les drapeaux de 27 à 30 mois, des tuées et des blessés, des missions dont ceux qui sont revenus préfèrent ne pas parler, a sonné le glas.

Aujourd'hui, la défense du pays, avec (vous en avez lu 30%, il reste à lire 70%, de cet article.)

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