Une nouvelle modélisation permettra aux assureurs d’affiner la prévision des risques climatiques

Cette nouvelle méthode mathématique devrait leur permettre d’évaluer les probabilités d’occurrence d’évènements météorologiques extrêmes mais, par nature, rares et qui, en règle générale leur coûtent très cher, s’ils se produisent.

Les exemples de référence sont la canicule de 2003 en Europe et les passages dévastateurs successifs, en fin de saison, des ouragans dans l’océan Atlantique.

Le modèle de modulation mathématique a été mis au point par une équipe lyonnaise, de l’ENS destinée à évaluer les probabilités de survenance de phénomènes rares sur lesquels les assureurs basent leur capacité de couverture des risques et le montant des primes à demander aux assurés.

Les assureurs ont (vous en avez lu 22%, il reste à lire 78%, de cet article.)

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