Les pauvres ont désormais leur plan

Ils sont de plus en plus nombreux en France et ils auraient préféré sortir de la pauvreté, plutôt que de bénéficier d'un plan, dont ils n'attendent pas grand-chose de la part d'un Etat à court d'argent.

Prévu pour avril 2018, puis pour juillet, ce plan difficile à finaliser, c'est finalement jeudi 13 septembre, depuis le Musée de l'homme, place du Trocadéro à Paris que le « plan pauvreté » du gouvernement a été présenté par le président de la République lui-même, car il s'est certainement impliqué dans la mise au point.

Dès mercredi, une fois le plan arrêté, son cabinet, celui de la ministre de la santé et de la solidarité, Agnès Buzyn et le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, laissaient filtrer qu'il s'agissait d'un plan ambitieux de 8 milliards d'euros, sur les quatre années à venir.

Cela fait 1 000 euros par pauvre, soit un peu moins de (vous en avez lu 22%, il reste à lire 78%, de cet article.)

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