Face à la crise dans l'éducation nationale le président Macron opte pour le dialogue

A trois mois des élections présidentielles, suivies des élections législatives, la forte mobilisation des personnels de l'éducation nationale, mêlée aux parents d'élèves, liée à la crise sanitaire, en exprimant une défiance vis-à-vis du pouvoir quant à sa gestion, a de quoi inquiéter ceux qui comptent se présenter à leur réélection.

Personne au sommet de l'Etat, le ministre de l'éducation en tête, n'avait anticipé une grève nationale du personnel de l'éducation nationale, personne n'avait imaginé que le mouvement serait suivi en désaccord avec lui. Au moment où l'opposition fait entendre sa voix, 31 % des enseignants selon le décompte ministériel et de plus de 60 % selon les syndicats en mettant près de 80 000 manifestants dans la rue, selon le ministère de l'intérieur. Par ailleurs, (vous en avez lu 24%, il reste à lire 76%, de cet article.)

…

Cet article est réservée aux abonnés à RiskAssur-hebdo Privilège

Vous êtes déjà abonné, pour vous identifier, cliquez ici

Abonnement en ligne a RiskAssur-hebdo Privilège
vous donnant accès à l’ensemble des publications en version intégrales (plus de 35 000 articles)

Abonnement 12 mois : cliquez ici
Abonnement 1 mois: cliquez ici
Abonnement d’essai pour seulement 15 euros, : cliquez ICI