En 2818 les concentrations de méthane dans l'atmosphère ont atteint un record

La forte hausse de ce puissant gaz à effet de serre, qui pourrait être d'origine naturelle en provenant notamment des zones humides tropicales, risque d'accélérer le dérèglement climatique.

Le méthane, le CH4, qui arrive en deuxième place, en importance après le dioxyde de carbone, le CO2, augmente de manière très rapide dans l'atmosphère, selon les données publiées récemment par l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, la NOAA, bien plus qu'anticipé par les climatologues.

Selon ces observations, il y a de quoi miner l'objectif de l'accord de Paris de 2015 de limiter le réchauffement climatique bien en deçà de 2°C.

Selon les chiffres de le NOAA, l'augmentation des taux de CH4 dans l'atmosphère s'est accélérée ces cinq dernières années, enregistrant une croissance deux fois plus élevée sur la période 2007-2013, après une stagnation entre 2000 et 2007, actuellement la seconde plus forte hausse depuis vingt ans.

Cependant, (vous en avez lu 29%, il reste à lire 71%, de cet article.)

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