La sortie négociée de la Grande Bretagne de l'Union européenne a du plomb dans l'aile

La décision de la Grande Bretagne de quitter l'Union européenne n'a pas été une surprise, la véritable surprise a été en son temps son adhésion à celle-ci.

La Grande Bretagne voulait bien bénéficier de tous les avantages offerts par l'Union européenne, mais sans participer à ses charges, comme on a pu le voir par la suite.

La position de la Grande Bretagne a été affirmée d'une manière claire et nette à cet égard, par la première ministre britannique de l'époque, Margaret Thatcher, qui a dit le 30 novembre 1979 à Dublin, au sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne, qui ne comptait encore que neuf membres : « I want my money back ».

Pour elle, son pays payait plus qu'il ne reconcevait du budget européen, il fallait donc, et le plus vite possible corriger ce déséquilibre et lui rendre ce qui lui appartenait, ni plus, ni moins.

Il faut croire que (vous en avez lu 14%, il reste à lire 86%, de cet article.)

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