L'auto-stop organisé pourrait suppléer au manque de transport en commun

L'idée est née, d'après ce que l'on croit savoir, en 2010 à Moissac en Tarn et Garonne où un conseiller municipal, chargé du développement durable a lancé un projet, adopté depuis par 1 600 communes, visant à apporter une alternative à « la voiture solitaire » et au manque de transport en commun.

Elle concerne en premier lieu cette France rurale et périurbaine, peu couverte en transports publics, alors qu'elle représente 40 % de la population française, selon les chiffres du Centre d'Analyse stratégique, le CAS.

Dans ces territoires, l'offre de transports est insuffisante, et quand elle existe, il n'y a pas d'harmonisation entre les différents modes de mobilité, en étant assuré par des lignes de bus exploités par des transporteurs privés, sans grands moyens.

Qui se souvient encore des « trains trams » tirés par les locos à vapeur de la Compagnie des chemins de fer vicinaux, qui permettaient de traverser la France rurale, en reliant les petits villages les uns aux autres, tombés dans l'oubli après (vous en avez lu 32%, il reste à lire 68%, de cet article.)

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