La prescription des génériques marque le pas Article lu 12985 fois, depuis sa publication le 08/07/2014 à 16:43:27 (longueur : 2500 caractères)
L’Assurance maladie pourrait économiser 500 millions d’euros si les médecins augmentaient la part des médicaments génériques dans leurs prescriptions, a affirmé son directeur général Frédéric van Roekeghem.
On délivre 82 % des médicaments génériques en pharmacie, mais on ne prescrit qu’à hauteur de 40% de médicaments génériques, lorsque c’est possible.
Pour Frédérique van Roekeghem, il faudrait passer de 40 % à 60 % des prescriptions pour économiser ces 500 millions d’euros, dépensés aujourd’hui en pure perte, faute pour les assurés sociaux, qui ne veulent pas entendre parler des génériques, d’en avoir une idée précise, en vertu du vieux principe « en cas de doute, il veut mieux s’abstenir ».
Or, un médicament générique est un médicament identique ou équivalant à celui d’un médicament de marque, désigné par princeps.
Le médicament générique est vendu sous sa dénomination commune internationale, la DCI qui correspond au non chimique de sa substance principale ou sous un nouveau nom que lui a donnée son fabricant.
Le principe actif du générique est identique à celui du produit de marque, la seule différence possible est la présentation ou les excipients.
Ce sont ces différences qui déroutent et inquiètent les patients, au point de réclamer à leur médecin la prescription des princeps et non pas le générique.
Les médecins ont tendance à leur céder, plutôt que de s’engager, faute de (vous en avez lu 57%, il reste à lire 43%, de cet article.)
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