Le lancement de l’écotaxe est compromis dans sa forme actuelle
Article lu 9121 fois, depuis sa publication le 08/04/2014 à 09:42:35 (longueur : 2402 caractères)
Retardée à trois reprises, alors que techniquement elle était prête à entrer en application grâce au dispositif mis en place, aux frais du consortium délégataire du service public correspondant, sa perception a été gelée par le précédent gouvernement, pour faire taire les protestations soulevées, parties de la Bretagne, habituée à la gratuité des autoroutes.
C’est la nouvelle ministre de l’écologie et des transports, Ségolène Royal, qui a hérité du problème, en panne depuis des mois, dans l’attente des conclusions d’une mission parlementaire, qui en a reçu la charge.
Avançant en terrain miné, la toute nouvelle ministre s’est attirée les foudres des écologistes, a qui le président de la République avait vainement proposé le ministère qu’elle occupe maintenant par défaut, en déclarant vouloir mettre à plat l’écotaxe, en rappelant qu’elle n’était pas pour une écologie punitive.
Ses propos ont été qualifiés par des écologistes d’étranges, d’irresponsables, voire de totalement absurdes.
Ségolène Royale, consciente qu’elle devra gérer ce dossier sensible, s’est empressée d’ajouter : « Je ne suis pas seule à décider, mais je vais remettre à plat les choses, pour voir quelles sont les autres possibilités que nous avons pour dégager des financements, pour les travaux ferroviaires et routiers en attente ».
Rappelons, que prévu, après les reports successifs, à démarrer le (vous en avez lu 58%, il reste à lire 42%, de cet article.)
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