La France cherche à tirer profit de la fonte des glaces de l’Arctique

Le réchauffement climatique, aux effets de plus en plus visibles dans le Grand Nord, l’Arctique rendra accessibles les richesses minières présumées exister dans son sous-sol.

Le Sénat vient de publier un rapport, établi à cet égard, par l’un des siens, le sénateur André Gattolin, des Hauts de Seine, consacré aux préoccupations européennes et françaises, liées à l’Arctique.

Cette région mérite d’être protégée des convoitises des pays qui la bordent, de l’Union européenne, à la Russie, du Canada aux Etats-Unis d’Amérique.

La fonte des glaces permettra de créer une nouvelle route maritime, d’ouvrir de nouvelles zones de pêche et de forer le sous-sol pour découvrir des gisements d’hydrocarbures dont on ne devrait plus, prochainement, avoir l’usage, mais aussi de l’uranium, des diamants et des terres rares.

Dans les milieux d’affaires, on parle du Far West du XXIème siècle, mais laissons les à leurs fantasmes.

Alors que les grandes puissances élaborent, depuis déjà plusieurs années ; des stratégies pour l’Arctique, l’Union Européenne et la France n’ont pas encore élaboré de ligne formelle pour le Grand Nord, alors que la France compte bien (vous en avez lu 49%, il reste à lire 51%, de cet article.)

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